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Service à la famille

Avocat spécialisé: Droit de la famille

Il faut tout d’abord savoir que les cas impliquant des relations familiales sont sensibles et nécessitent l’aide d’avocats expérimentés, la compréhension et l’expertise dans ce domaine pour assurer une opération progressive et précise.

Un avocat en droit de la famille peut vous aider à gérer ou à résoudre tout problème familial, notamment :

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Le Divorce

Le divorce représente la fin du mariage peut avoir lieu seulement si le conjoint a été légalement enregistré. De plus, il  existe deux types de divorce en Thaïlande : un divorce convenu et un divorce dit inassable.

Divorcé avec consentement

Un divorce convenu peut etre defini tel un accord entre deux partenaires souhaitant divorcer et enregistrer le divorce en présence du bureau de district. De plus, dans ce domaine, cette procédure se voit la plus simple et ne suscite aucun coût.

Divorce non consensuel

Un divorce ouvert est un divorce inabordable. Autrement dit, un divorce que l’un ou l’autre des époux n’a pas accepté, rendant ce dernier impossible. Aussi, dans ce cas precis, la Cour rend une décision de divorce. Il s’agit d’une procédure complexe faisant faire appel à des personnes ayant une expertise spécialisée en matière d’aide et de consultation, comme des avocats, des consultants, des agents d’application de la loi, ou encore des tribunaux de la jeunesse et de la famille. 

La loi thaïlandaise prévoit le divorce conformément au Code civil et commercial. Section 1516 : 10.

Ainsi, le divorce est prononce lorsque qu’une femme ou un mari, a effectue une prostitution ou un rapport sexuel avec d’autres personnes.
Mais aussi, si l’épouse ou l’epoux, se sent haï(e), blessé ou torturé.

De meme, cette decision peut etre rendue si le mari ou la femme se sont volontairement abandonnés pendant plus d’un an.

De plus, ce cas peut s’appliquer l’un des deux conjoints ne fournit aucun soutien, ou ne prend aucune mesure pour son mari ou sa femme. Si l’acte est d’une taille telle que l’autre personne se trouve dans un mort-terrain, l’autre personne doit être dans l’état de sa coexistence. Dans ce cas, les epoux peuvent egalement faire une demande de divorce.

De meme, si le mari ou la femme laisse de cote son partenaire pendant plus de trois ans et que son comportement devient fou et difficile. En revanche, certaines closes peuvent exiger que la femme ou l’homme reste avec son coinjoint pour le soutenir s’il devient irresponsable de ses actes.

Puis, si le mari ou la femme se trouve coupable d’une lettre de conduite. Alors son coinjoint peut porter une accusation de divorce. De meme, si l’un des deux se trouve atteint d’une maladie transmissible grave qui pourrait nuire à l’autre partie et que celle ci est chronique et ne peut être rétablie, une procedure peut etre effectuee.

Ainsi, lorsque le divorce est déposé, la partie cautionnée peut également réclamer des droits légaux, tels que ses propres frais de pension alimentaire et les frais de l’enfant, si le divorce est causé par la responsabilité de l’autre conjoint. Enfin, le divorce peut etre compensé par le mariage d’un autre conjoint, y compris par la détermination de l’autorité des enfants. 

Biens matrimoniaux

Un mariage designe les biens que le conjoint a acquis au cours de cette periode. Il est souvent considéré comme un mariage total, et comprend le salaire, la prime, le logement, les terres enregistrées, ou encore le transfert de titre après le mariage. Par conséquent, il est essentiel de déterminer si un bien se voit considéré comme appartenant au mariage ou non. Aussi, la premiere question reside dans la connaissance de la légalité de l’enregistrement du conjoint.

Lorsqu’il y a des biens dans un mariage, chaque conjoint dispose du droit à ces biens et tout acte ou action concernant un mariage donné, est toujours géré conjointement ou avec le consentement de l’autre:

1- Vendre, négocier, prêter, louer, hypothéquer ou transférer une hypothèque/prêt hypothécaire étant une propriété pouvant être hypothéquée. 
2- Etablir ou prendre tout ou partie du droit de possession du terrain, mais également du droit de prendre en charge le terrain, ou encore le droit de prendre en charge le bien immeuble.
3- Louer des biens immobiliers pour plus de trois ans.
4- Accorder des prêts.
5- Sauf disposition appropriée du pouvoir familial pour la charité, le devoir social ou éthique.
6- Consentement à l’amiable.

7- Attribuer un différend à l’arbitre pour diagnostic.
8- Prendre des biens en garantie auprès du fonctionnaire compétent ou de la Cour.

Aussi, les arrangements d’un mariage peuvent être manipulés sans le consentement de l’autre partie, pour donner sa propre partie du mariage à d’autres par exemple. De plus, lorsque le mariage a pris fin pour quelque raison que ce soit, la division du mariage doit être faite par moitié. Si un conjoint souhaite divorcer mais qu’il ne parvient pas à s’entendre son le mariage, ce dernier dispose du droit de saisir la Cour d’une affaire de mariage ou, s’il y a divorce requis par la loi, celui-ci peut également déposé une lettre ouverte.

En outre, si un conjoint ne souhaite pas que les biens soient acquis par sa femme pendant le mariage ce dernier doit souscrire a un contrat de mariage antérieur avec le certificat de mariage. De plus, les biens doivent faire l’objet d’un accord spécial avant le mariage et l’accord doit être écrit dans le registre de mariage avec au moins 2 signatures du témoin jointes à la date du registre de mariage.

Biens matrimoniaux

Un mariage designe les biens que le conjoint a acquis au cours de cette periode. Il est souvent considéré comme un mariage total, et comprend le salaire, la prime, le logement, les terres enregistrées, ou encore le transfert de titre après le mariage. Par conséquent, il est essentiel de déterminer si un bien se voit considéré comme appartenant au mariage ou non. Aussi, la premiere question reside dans la connaissance de la légalité de l’enregistrement du conjoint.

Lorsqu’il y a des biens dans un mariage, chaque conjoint dispose du droit à ces biens et tout acte ou action concernant un mariage donné, est toujours géré conjointement ou avec le consentement de l’autre:

1- Vendre, négocier, prêter, louer, hypothéquer ou transférer une hypothèque/prêt hypothécaire étant une propriété pouvant être hypothéquée. 
2- Etablir ou prendre tout ou partie du droit de possession du terrain, mais également du droit de prendre en charge le terrain, ou encore le droit de prendre en charge le bien immeuble.
3- Louer des biens immobiliers pour plus de trois ans.
4- Accorder des prêts.
5- Sauf disposition appropriée du pouvoir familial pour la charité, le devoir social ou éthique.
6- Consentement à l’amiable.

7- Attribuer un différend à l’arbitre pour diagnostic.
8- Prendre des biens en garantie auprès du fonctionnaire compétent ou de la Cour.

Aussi, les arrangements d’un mariage peuvent être manipulés sans le consentement de l’autre partie, pour donner sa propre partie du mariage à d’autres par exemple. De plus, lorsque le mariage a pris fin pour quelque raison que ce soit, la division du mariage doit être faite par moitié. Si un conjoint souhaite divorcer mais qu’il ne parvient pas à s’entendre son le mariage, ce dernier dispose du droit de saisir la Cour d’une affaire de mariage ou, s’il y a divorce requis par la loi, celui-ci peut également déposé une lettre ouverte.

En outre, si un conjoint ne souhaite pas que les biens soient acquis par sa femme pendant le mariage ce dernier doit souscrire a un contrat de mariage antérieur avec le certificat de mariage. De plus, les biens doivent faire l’objet d’un accord spécial avant le mariage et l’accord doit être écrit dans le registre de mariage avec au moins 2 signatures du témoin jointes à la date du registre de mariage.

Garde – Pension alimentaire pour époux et enfants

Dans le cas de la famille, les frais d’usager peuvent être considérés en deux parties :

– Valeur parentale (dans ce cas, il nbe s’agit que du père selon la loi)

– Dépenses à charge du conjoint

Frais parentaux

Les parents sont responsables du parrainage d’enfants, des devoirs moraux et des devoirs légaux. Autrement dit, les parents doivent fournir un soutien et une éducation aux enfants mineurs. La loi exige que la durée de l’adoption d’un enfant soit à l’âge de 20 ans, sauf si l’enfant est dans un état secondaire, engendrant l’obligation des parents de subvenir à ses besoins. En revanche, la loi ne fixe pas la période pendant laquelle l’enfant doit subvenir aux besoins de ses parents d’âge en âge ni la durée de cette période. Neanmoins, les parents et les enfants dispose du même droits et devoir à savoir s’entraider. Par ailleurs, la loi permet le droit d’être élevé par l’autre partie à partir du jour où l’autre partie ne soulève pas la question. Le parent ou la mère peut également intenter une poursuite contre l’adoption de son enfant et les personnes à sa charge.

Dépenses à charge du conjoint

Pour le soutien du conjoint, la femme a un avantage différent du soutien du parent et de l’enfant parce que la loi exige qu’ils vivent ensemble. Mari et femme doivent s’entraider mutuellement en fonction de leurs capacités et de leur position. Si ce n’est le cas, peut survenir une accusation de poursuite entre le couple. Ainsi, si l’une ou l’autre des parties n’a pas fourni un protecteur de sa propre capacité, l’autre partie peut agir.

S’il y a une poursuite, le tribunal choisit, en fonction de la capacité de la personne a avoir une obligation avec la condition du destinataire, les depenses exigées.

Enregistrement des enfants

Les enfants nés de parents qui ne sont pas légalement inscrits au mariage ne sont que les enfants légaux de leur mère. Un père qui n’est pas légalement enregistré en mariage avec une mère, n’est pas un enfant légitime. En conséquence, il n’y a pas de droits et de devoirs juridiques entre eux : le père n’est pas un représentant autorisé à agir au nom de l’enfant, comme le consentement à l’acte de droit. De plus, l’enfant n’a pas le pouvoir ni l’obligation de subvenir aux besoins de son pere. Il n’a pas le droit de recevoir l’héritage de l’enfant ni de réclamer des dommages. Aussi, l’enfant n’a aucun devoir de soutenir son père et ne peut hériter si son père ne justifie pas l’acte d’enfant.

L’enregistrement d’un certificat d’enfant est l’un des moyens légaux par lesquels un enfant peut être légalement enfant. Par ailleurs, un certificat d’enfant doit être enregistré auprès du registraire et obtenir le consentement de la mère, de l’enfant. De plus, dans ce cas, La Cour présente une requête pour qu’elle détermine s’il s’agit d’un enfant légitime ou non, puis l’arrêt de la Cour est enregistré auprès du greffier sans qu’il soit nécessaire d’obtenir le consentement de l’enfant et de la mère. En pratique, la plupart des gens utilisent la procédure pour soumettre une demande à la Cour pour un premier arrêt, puis pour l’enregistrement afin d’éviter l’opposition et l’enregistrement du greffier dès le début. 

Adoption des enfants

Dans le cas ou le père ou la mère de Dieu et son enfant adoptif ne sont pas du même sang, mais qu’il existe un consentement mutuel entre père et mère et vrai père et mère de l’enfant, la loi prévoit que les droits de l’enfant soient les mêmes que ceux de l’enfant légitime des parents à la date de l’enregistrement. Par exemple, le droit d’utiliser le nom de famille de son père est autorisé. Neanmoins, ce dernier n’aura pas le droit d’accepter l’héritage de l’enfant adopté. En revanche, l’enfant pourra obtenir le véritable héritage de son père, de sa mère, de son père et de sa mère, qui ont le droit de visiter.

La loi protège également les enfants par leurs parents. L’adoption de ces enfants doit d’abord être informée de l’accord de leur vrai père et mère et de leur consentement à la fin de l’adoption de leur enfant adopté.

L’adoption du mérite n’est complète que si l’adoption de l’enfant adopté est adoptée. Si l’adoption du Dhamma est requise, le mineur doit d’abord se conformer à la loi sur l’adoption de l’enfant adopté ainsi qu’au mérite par l’adoption du Dhamma.

De plus, l’adoption doit avoir au moins 25 ans et au moins 15 ans avant l’adoption du mérite.
Une personne âgée d’au moins 15 ans doit donner son consentement.
Un enfant mineur en famille d’accueil doit obtenir le consentement de ses parents ou de ses tuteurs.
Qui prendra l’enfant adopté, ou qui sera l’adoption du mérite. Aussi, quand un conjoint existe, le consentement préalable du conjoint doit être obtenu.
Un mineur qui est déjà un enfant d’une personne est un enfant d’une autre personne. En même temps, il n’est pas permis d’être un enfant du conjoint d’une personne qui est un enfant de l’adoption. 

La loi prévoit deux façons de cesser d’accepter l’adoption du mérite adopté : L’accord entre la personne adoptée et l’adoption de l’enfant adopté  et le consentement de l’adoption.

Testament

Les conséquences sont l’intention d’établir une marge de mort dans tout acte qui entrera en vigueur lorsqu’une personne deviendra défunte. La loi est le seul acte de droit auquel la loi prévoit sous la forme des biens du défunt. Sous forme de lettre, il y a 5 formes de droit:

1. Conventionnel

Doit être écrit ou tapé par écrit (en thaï ou en langue étrangère), daté du mois de l’année au moment de la rédaction, et devant être signé devant au moins deux témoins en même temps, soit signé ou tapé aux doigts, mais seul le témoin à signer en cas de signature dans la lettre doit peut se voir en capacite de la signer.

2. Une forme écrite complète de pensée

Elle doit être defini par écrit par un fonctionnaire désigné et de sa propre main. De plus, elle ne peut être écrite par aucune autre personne en thaï ou en langue étrangère. Par conséquent, ceux qui ne peuvent pas écrire un tel acte ne peuvent faire une telle suggestion. Aucun autre type, empreinte digitale, curry ou marque ne peut être utilisé.

3. Documents politiques

La demande d’action politique doit être soumise au shérif de tout district aux fins de l’action en notifiant l’attention du message qu’il ou elle souhaite être mis dans son testament avec au moins deux témoins en même temps. Le shérif doit alors écrire le message que les facilitateurs ont notifié et lire la déclaration au testateur et aux témoins quand il a été jugé que le message que le shérif a écrit était le même que celui communiqué par le testateur. Puis, l’exploitant et le témoin se doivent de signer le message et d’apposer leur signature le jour même du mois mais aussi de l’année. Ensuite, si tout est conforme  aux critères énoncés ci-dessus, le poste est estampillé.
Les partis politiques n’ont pas nécessairement à le faire dans le district. 

4. Confidentiel

La lettre du fonctionnaire doit être présentée au département du district (M. Aamicha) au moment où la déclaration écrite est signée par l’organisme. L’auteur doit egalement avoir signé le sceau.
De plus, le processus doit être exécuté par la personne qui le fait. Le shérif fera une déclaration à au moins deux des shérif en precisant la date de l’événement ou il a été écrit sur l’enveloppe pliée avec le sceau du poste. Par ailleurs, le shérif du notaire est témoin sur l’enveloppe.

5. Voix oral

C’est le cas lorsque des circonstances particulières ne peuvent être établies par une personne qui est capable d’accomplir d’autres activités précisées par la loi, comme être en danger de mort, de maladie ou de guerre. Dans ce cas, la personne qui n’a pas la possibilité d’obtenir l’instrument écrit en temps opportun ou avant qu’il puisse être mis à mort peut beneficier du systeme par voie orale. En même temps, tous les témoins doivent se montrer au shérif sans délai, et informer le shérif du message que le testateur a ordonné verbalement, le jour du mois, sur le site duquel ils ont fait un discours sauf circonstances particulières empêchant toute autre forme d’action prescrite par la loi.

Il est très important de faire n’importe quelle sorte de droit en raison de l’effet de ceci, mais aussi de parfaitement déterminer les conditions de l’existence de la propriété et du droit avant le décès. Le conseil ou le conseil juridique pour la réalisation de tout tel acte doit être consulté. 

Héritage

Le patrimoine est l’ensemble des biens appartenant au défunt, y compris les droits et devoirs du défunt qui ont été trouvés au moment du décès. L’héritage et les implications ne sont pas les mêmes, mais sont souvent liés en raison de la propriété du défunt. Si le défunt n’a fait aucune des propriétés, ses biens seront immédiatement transmis à l’héritier conformément à la loi de l’héritage au décès du défunt.

En cas de décès, les biens, dont héritages et droits du défunt iront à son héritier, neanmoins, même si l’héritier a le droit d’hériter des biens, cette demarche se trouve complexe. En effet, la personne detenant le pouvoir de gérer les biens du défunt se trouve le gestionnaire du patrimoine.

Le gestionnaire du patrimoine peut etre defini comme etant l’autorité légale et l’obligation de gérer les biens du défunt. Il peut être formé de deux façons: par implication, nomination en tant que gestionnaire du patrimoine, et par une ordonnance du tribunal dans laquelle aucun autre acte ou entité est précisé dans ce dernier cas. Cependant, s’il apparaît qu’il y a eu un incident dans le partage des biens successoraux et héritiers du droit du patrimoine, une demande peut etre adressée à la Cour pour demander reparation.

Puis, lorsque la Cour designe un heritier, tous doivent accepter de désigner cette personne comme gestionnaire du patrimoine. S’il y a opposition devant le tribunal, une audience est tenue pour déterminer quelle personne est apte à agir à titre de gestionnaire du patrimoine, en tenant compte du plus grand avantage de la gestion du patrimoine.

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